Conversation entre Elisa Giacometti et les inspecteurs Alexia Hoffer, François Martin et Sarah Da Silva
Texte fait par Marc
Lieu : Bureau de la commissaire Alexia Hoffer,
commissariat de Lausanne
Personnages :
- Elisa Giacometti : Experte scientifique du
laboratoire de la police, exubérante et avec un sens de l'humour bien placé.
- Alexia Hoffer : Commissaire de la police cantonale
vaudoise.
- François Martin : Inspecteur.
- Sarah Da Silva : Inspectrice.
Scène :
Elisa Giacometti entre dans le bureau avec un dossier, son
visage illuminé par un large sourire. Elle est connue pour son enthousiasme et
son humour décalé.
Elisa Giacometti : (entrant dans le bureau avec un
dossier, enjouée) Salut tout le monde ! J’espère que vous êtes prêts pour
des révélations dignes d'un thriller hollywoodien !
Alexia Hoffer : (souriant) Bonjour, Elisa.
Toujours avec ta bonne humeur, je vois. Qu'est-ce que tu as trouvé ?
Elisa Giacometti : (ouvrant le dossier avec un air
théâtral) Alors, tenez-vous bien, les amis! Pour commencer, le papier de
cette lettre anonyme est un classique des boutiques de fournitures de bureau.
Pas très exotique, mais il fait le job. L’encre, par contre, est d’une marque
vendue uniquement ici à Lausanne. Comme quoi, on reste toujours fidèle à nos
racines, même pour des messages menaçants.
Sarah Da Silva : (souriant) Un suspect local
alors. On avance.
Elisa Giacometti : (avec un clin d’œil) Exactement,
Sherlock. Maintenant, les empreintes digitales. Vous n’allez pas croire ça,
mais nous avons trouvé des correspondances partielles avec un certain membre de
notre Collectif préféré. Et attendez... des traces d’ADN inconnu pour l'instant !
Alexia Hoffer : (intéressée) Continue, Elisa.
Et pour l’analyse de l’écriture ?
Elisa Giacometti : (avec un soupir dramatique)
Ah, l’écriture… Une sorte de mix entre Shakespeare et un prof de grammaire
sévère. Des similitudes avec l'écriture d’Alex Li, mais rien de béton. Par
contre, l’analyse linguistique montre un auteur très éduqué. Ils auraient pu au
moins laisser quelques fautes d’orthographe pour nous aider un peu !
Sarah Da Silva : (riant) C'est vrai que ça
aurait été sympa de leur part.
Elisa Giacometti : (riant aussi) N'est-ce pas
? Bon, sérieusement, on a aussi trouvé des traces de café d’une marque
spécifique. Un café vendu dans un établissement local, fréquenté par nos chers
suspects.
Alexia Hoffer : (se levant) Intéressant. Nous
devons surveiller cet endroit.
François Martin : (prenant des notes)
D’accord. Cela nous donne des pistes concrètes. Et les microfibres ?
Elisa Giacometti : (consultant ses notes) Ah,
les microfibres ! Coton et laine, les amis. Mais
attendez, on a aussi trouvé des fibres synthétiques étranges. Elles ne
correspondent à rien de ce que nous avons vu chez Dalmeck ou Li. Mais il pourrait y avoir d'autres joueurs dans cette partie. Mais il y a autre chose. J'ai passé la lettre à la lumière bleue et des volutes sont apparues. Il est possible que ces dessins aie un lien avec la Jonglologie.
Sarah Da Silva : (regardant Alexia) Donc, en dehors de Dalmeck et Alex Li, quelqu'un d'autre
pourrait être impliqué. On doit creuser ces pistes du côté de la Jonglologie et de la Fleur de Lys.
Elisa Giacometti : (d'un ton joyeux) Oui, mais
faisons-le subtilement. Si l’un d’eux est le "vrai joueur", on ne
veut pas lui donner l’impression qu'on a déchiffré toute sa stratégie de poker.
Alexia Hoffer : Merci, Elisa. Ton travail est, comme
toujours, impeccable et divertissant.
Elisa Giacometti : (avec un sourire) Je vis
pour ça, Alexia. Et n’oubliez pas, les détails sont notre meilleur ami. En
avant pour la prochaine découverte !
L’équipe se disperse, chaque membre déterminé à percer
les mystères entourant le "vrai joueur" et à résoudre le meurtre de
la cathédrale, tout en gardant un œil attentif sur les "masques"
derrière lesquels leurs suspects pourraient se cacher, avec un peu d'humour
pour alléger la tension.
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