JCAVA

Nouvelle a chute de Juan Carlos Varela, un artiste peintre humaniste et atypique, qui vous surprendra dans son livre avec tous ses rêves dans leurs sombres réalités, entremêlant des interprétations tantôt poétiques, expressionnistes ou minimalistes dans un monde qui peu à peu et devenu presque partout contemporain, et qui continue à avancer progressivement et continuellement, fidèle à son habitude, en tournant inlassablement autour de la même et la plus belle des étoiles, le Soleil.


Son désir étant de vous faire voyager à travers tous les temps tout au long de son expérience expérimentale, aussi bien trépidante que transcendantale avec comme seule et passionnante finalité, de trouver la vérité et la paix dans son étonnante et incroyable quête du bonheur.

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Mon chemin de croix.

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L’enfer est dans nos cerveaux. Nous l’avons inventé pour le pire et pour le meilleur.

Avec le temps, nous sommes devenus des petits martyrs. Oh mon Dieu, le moment est arrivé pour nous de larguer les amarres, nous allons tous de nouveau voyager vers tous nos mystères.


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Ouvrez grand vos bras et fermez vite vos yeux !

Pouvez-vous voir et sentir la beauté ?

De temps en temps, ouvrez vos petits yeux.

Pour trouver quelque chose, pour rester bien au chaud et pour rester sain.

Essayez de vous protéger au mieux quand vous êtes si réel. 

Vous devez tout savoir et vous devrez toujours aussi le démontrer. 

La vie c’est vous et faites de nous, encore et encore à l’infini.


Les journées passèrent et se ressemblèrent sans vraiment rien de bon et de nouveau à se mettre sous la dent, quand soudainement, le gentil Jcava, artiste peintre sans gloire et dans sa petite crise de la quarantaine, toujours pas achevée, car toujours trop soucieux à redorer son blason, et aussi autant tiraillé par l’amertume des remords dans sa vie de tous les jours de plus en plus fuyante, lança une étonnante et touchante révélation à sa belle et douce, tendre destinée.


Né dans la douleur, je souffre souvent à cause de la mauvaise humeur qui règne dans mon état d’esprit, généralement un peu désinvolte et affreusement difficile à exprimer et à partager. 


C’est toujours invariablement plongé dans la stupeur, que je vois et je compte, des voies dans des contes, tous les soirs et dans chacune des soirées. Navré souvent dans la bonne humeur, je marche et je pompe, extrêmement serré dans la sueur sans que  plus rien ne puisse m’arrêter et à la fin je pleurs dans votre silence, un peu coincé dans l’heure mais avec plus rien dans ma tête, et je sors et je pense à vous...


Pour supporter cette forme sous-jacente de grande souffrance, je me dois de temps en temps de rester à l’écart, loin de tous et de tout pour simplement mieux me comprendre.


Loin de vous, je vis à des années lumières de votre beau monde et j’ai besoin de vous et de votre bon feu revigorant qui est à vrai dire, force est de le constater, toujours très confortable dans votre immense réalité.


Pour vous aimer toujours plus fort et pour rester sagement à vos côtés et fidèlement longtemps ensemble, vous devrez souvent essayer de vous efforcer au mieux à prendre bien soin de moi, Jcava, votre petit prince charmant, car je voudrais manifestement tellement, qu’un jour vous puissiez aussi ressentir cette terrible et mystérieuse blessure au plus profond de mon âme, pour ainsi, je le pense vraiment, peut être, pouvoir un jour mieux nous aimer pour mieux nous comprendre, et sûrement, aussi normalement mieux nous cerner.


Je sais déjà bien des choses à votre égard, que vous me connaissiez plutôt bien dans mes yeux mais si vous puissiez aussi un jour réussir à lire dans mes pensées avec une plus grande précision, je crois alors vous découvririez sûrement, un autre homme avec une autre vie à raconter et à assumer, très loin des clichés des situations conventionnelles.


C’est quand cette méchante et vilaine douleur commence à traverser tout mon esprit de bas en haut et vice versa, pour aller se réfugier étrangement dans le sommet de mon crâne, que j’arrive miraculeusement, à vous retrouver dans mon incroyable imaginaire, et je commence alors à chaque fois un nouveau épisode dans lequel je ressens pour vous indéfiniment, une très grande et forte admiration.


Je ne sais pas encore comment vous le divulguer, je ne pourrais vraisemblablement jamais mieux vous l’expliquer. Je crois toujours à l’instant où vous me surprendrez encore et encore avec votre formidable et magnifique sourire, qui m’aidera toujours à bien revenir dans mon intime réalité. Une réalité sans failles, dans le temps tellement améliorée et augmentée, dans laquelle nous ne pourrions plus jamais nous séparer ni nous évader.


Paradoxalement, c’est en vous retrouvant maintenant personnellement, toujours en mouvement pour tenter de trouver ce qui vous manque, que vous allez aussi devoir vous déplacer pour essayer de trouver tous ceux qui vous manquent authentiquement.


Ainsi va la vie dans ce grand monde, souvent et répétitivement extraordinaire, chez tous les petits et chez tous les grands êtres vivants. La vie tournera toujours autour de ce que nous aimons chercher constamment, et relativement, comme notre très chère et unique planète Terre, a toujours souhaité aimer tourner encore et simultanément autour de sa plus belle et bien aimée étoile, tel un rituel sans fin. 


Vous devrez bien vous habituer au quotidien avec cette douce, belle et joyeuse, lente et incommensurable agonie, aussi bien divine que surréaliste à la fois, et plutôt du genre assez pénible à voir et même plutôt très pénible à supporter sur la durée à cause de tous ces supplices et toutes autres sacrifices, outrageusement et si copieusement bien gardés, pour ensuite être oubliés, dans le chemin de votre et de notre admirable sainte croix, la plus grande et tant désirée, Croix d’Amour.


Cette expérience exceptionnelle pour tous et si mystérieusement parallèle à la vie courante de tous les jours sera aussi souvent enrichissante que passionnante, que c’est très justement, que vous pourrez communément bientôt plus vous en passer pour votre plus grand bien être, celui qui vous donnera des ailes pour aller là où vous aurez définitivement souhaitez aller pour en avoir encore perpétuellement, l’envie d’y rester infiniment jusqu’au bout.


Vous ferez bien aussi de veiller assidûment pour vous préparer un peu, au mieux, et au plus vite, à tous ces délicieux changements, aux rotations et aux mouvements autant imprévisibles que continuellement invisibles, et par opposition indescriptibles à saisir et à contempler, car votre exceptionnelle destin sera régulièrement tellement perturbé que vous allez bien vite très bien réaliser au combien cela sera toujours important et très compliqué à imaginer, anticiper et à comprendre.


Rappelez-vous dorénavant, toujours tout est faux depuis le début du commencement, à part vous et votre très grande et terriblement horrible, impitoyable souffrance.


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L’amour vous rendra probablement toujours meilleur, en vous aidant à vous sentir mieux avec vous mêmes et avec tous vos semblables. Vous allez devoir composer aussi doucement avec votre histoire naturelle et vivante, pour chacune de vos peines tout au long de votre existence, car vous en aurez souvent besoin, de chacune de vos douleurs et de toutes vos petites joies, pour continuer à chercher à améliorer vos sentiments, et tous les élans dans votre et notre réelle et belle qualité de vie, celle là qui nous donnera toujours trop envie.


Vous serez aussi bien avisés de l’apprivoiser au plus vite, votre long et intense chagrin, quand vous avancerez pas à pas dans votre grande quête du bonheur pour un monde toujours meilleur dont la finalité sera toujours de rester dans tous les cœurs de tous vos chers et tant désirés bons êtres humains.


Oh mon amour ! 

Pleurez sur moi tout votre amour ! 

Oh mon amour ! 

Pleurez sur moi toutes vos peines !


J’espère très sincèrement, vous aurez ainsi mieux tout bien compris.


Dorénavant, je ne sentirais presque plus rien ici bas sur Terre dans cette vie courante si souvent froide, itérative et toujours plus méprisante, à part notre grand et tout puissant, tant vénéré et respecté grand ami, le soleil. Tantôt rouge, jaune ou orange, souvent brillant et engagé ou tout simplement absent et endormi dans la nuit. Certes, vous avez un peu raison, souvent aussi, car il est assez chaud et apaisant pour m’aider à aller de l’avant, mais quand même toujours en feu pour aller, peut-être, plus ou moins vite dans la routinière quête de ma vie, de nos vies et de toutes les autres formes de vies.


Pouvez-vous sentir un peu de son amour ?


Je rêve souvent de lui et de sa belle et resplendissante petite étoile aussi lumineuse que mystérieuse, il nous montre tous les jours, une facette différente de son incroyable et impénétrable personnalité, tantôt aussi charmante qu’attrayante dans toute sa bipolarité, c’est avec son intense rayonnement, qui différera souvent d’une région à une autre, un peu comme dans la vie de chacun nos enfants, qui iront bien peu à peu découvrir le monde, en se réinventant ´ au delà des cieux pour tenter de toujours mieux s’adapter avec toutes leurs expériences multipliées dans les jeux d’amour et de hasards, toujours un brin plus personnalisées, en prétextant miraculeusement ici et ailleurs la vie différente des plus grands et de leur choix sans fin, qui les caractériseront en permanence tout au long de leur formidable et étonnant développement.


Je devrais à mon tour souvent changer de noms ou de jeux pour être un jour plus heureux ou moins malheureux et ça ne sera assurément jamais une mince affaire. La mission s’avèrera même titanesque, quand je serais sur le point de réaliser, que nous sommes maintenant tous différents et tous ensemble liés à des minuscules gouttelettes d’eau, à peine visible, qui s’échappent et s’échapperont encore et encore doucement et précipitamment de nos éternelles nuages toujours aussi blancs, gris ou noirs, pour se propager un peu partout dans toutes les atmosphères de l’univers. Un peu comme si nous devions nous améliorer perpétuellement, tout en n’oubliant jamais de nous transformer de l’intérieur vers l’extérieur avec notre intime et confidentielle, royale et magique machine à vapeur.


Je rêve vraiment du jour où je trouverais enfin cette incroyable et divine créature, soit la perle rare ayant le meilleur exemplaire du plus grand rêve en silicone de tous les temps, sortie de nulle part, dans ce monde toujours plus globalisé, conceptualisé et réalisé à mon unique attention, un peu, beaucoup et passionnément à la folie.


C’est en découvrant que je n’avais bientôt plus rien à attendre ni à sentir de vraiment bon et de nouveau sur notre belle et toujours tournante planète Terre, à part notre bienveillant et si puissant cher ami, le grand soleil, à connotation universelle, que je décidais de continuer mon incroyable voyage à travers le temps, cette fois ci vers une nouvelle et toujours inconnue destination, au combien admirée par tous les petits et tous les grands de ce bas monde, le bien renommé et tant redouté, sacré paradis. 


J’ai si souvent pu imaginer cette glorieuse et lointaine terre inconnue à ce jour, toujours aussi bien mystiquement protégée que secrètement cachée depuis la nuit des temps, bien qu’entretenue copieusement de tous nos grands rêves et de toutes nos meilleures illusions dans la plus grande folie de toutes les traditions avec discrétion, et aussi de toutes les folies aussi illuminées et affriolantes soient elles, les unes après les autres.


En arrivant enfin dans cet univers de nouveaux plus grands rêves et de nouveaux grands espaces vierges curieusement bien entretenus mais si conjointement toujours aussi bien attendus, j’ai dû très vite me rendre à la terrible et triste évidence que j’allais encore une fois être rapidement et complètement désenchanté.


C’est trop résigné, que j’avais de la peine à réaliser ce qui se déroulait devant mes petits yeux. Le soleil et la lune n’étant plus visibles et l’air impossible à respirer, la nature envahissante de tous ces gens, petits ou grands, sans paroles et maintenant tout le temps consternés de se retrouver ensemble sans moyen de communiquer normalement, me donnèrent envie de vomir et l’impression d’être tombé bien profond dans les entrailles du néant chez le misérable et jamais désiré mais toujours tant redouté paradis des gens méchants, l’impitoyable et trop funeste enfer. 


C’est très en colère et horriblement frustré que je me demandais irrémédiablement, ce que je pouvais bien avoir pu imaginer avant d’y aller, pour terminer avec cette amère et irrévocable conclusion.  


«Je me devais immédiatement, et au plus vite, de redescendre sur notre planète Terre».

 

De retour à la maison, sans jamais vraiment pouvoir comprendre toutes les raisons de ma lente et interminable pénitence, je continuais sans aucune joie à interpréter la maladie de tous les jours, avec toutes ces effroyables hallucinations et toutes ces maudites voix, fidèles mais déloyales, que je détestais toujours autant.


Mes très chers frères, mes fautes ne sont ni bonnes ou très mauvaises. Mon sang vous appartiendra toujours, et dès lors et réciproquement, nous serons tous toujours ensemble un peu faux pour notre plus grand désir et bien commun. C’est peut être un peu trop fort pour vous tous mais je m’en lasserai point. Je ne ressens jamais deux fois la même émotion, je suis certes un peu fatigué mais sans jamais être vraiment très déçu. 


Toujours en feu comme vous, je pense tout simplement, nous pourrons tous encore attendre longtemps avant de monter et de rejoindre notre commun et inséparable royaume des cieux. 


C’est résolument toujours tout chez vous qui me surprend et qui me rend de plus en plus heureux. J’aime tellement quand vous me souriez sans jamais vraiment arriver à vous trahir. Vous me procurez régulièrement de si belles et nouvelles sensations, que je ne pourrais jamais plus imaginer un nouveau jour à devoir vous les dévoiler. J’en suis sûr, quelqu’un de chez nous viendra un jour à vous et quand vous le verrez, vous pourrez enfin lui témoigner votre plus grand et profond respect, ainsi que le plus grand de tous vos amours, vous et votre intime vérité tout simplement.


Est ce que vous vous souvenez ?


Pour rendre nos vies encore plus harmonieuses et pour attraper ce dont nous aurons toujours besoin, nos origines sont des racines inépuisables d’adrénaline et de plaisirs merveilleusement bien confinés. Vous devrez toujours rêver et vous tenir prêt à partir dans tous les voyages. Tôt ou tard, Vous aurez tous entre vos mains une sacrée et invisible clé originale pour ouvrir la porte du destin, du néant vers l’infiniment le plus beau et le plus grand, le sacré bonheur.


A vous ma très chère planète Terre.


Êtes-vous sérieusement la planète d’amour ? 


Où êtes-vous ?


Où vous cachez-vous ?


Je cherche un endroit à aimer où je pourrais aimer et être aimé, pour entreprendre mon prochain grand voyage. Vous ne faites pas encore exactement ce que je rêve de faire. Vous devrez être complètement fou de moi sinon je ne pourrais jamais jouer mes petits jeux intrépides avec vous, même si vous êtes un peu perdues dans cet immense univers, à cause de vos jeux toujours un peu, pas mal et très stupides.


Toc toc toc à la planète Terre, laissez moi rentrer chez vous. J’ai trouvé quelque chose pour mes amis les terriens. Maintenant, je suis toujours heureux avec eux dans votre belle et captivante planète des jeux. Regardez moi, je plane la haut, c’est si beau et tellement bon. Tous les gens volent allègrement dans ce nouveau monde. Je me sens si bien avec tous mes amis, qu’ensemble nous voguerons toujours plus haut et plus fort dans notre petite planète bleue, notre belle et indéfinissable jolie planète d’amour.


Si j’étais une belle rose, je serais assurément pour vous quelqu’un de bien. Ce genre de rose sans épines. Une rose extraordinairement rare et faite sur mesure pour vous. Je mélangerais tous nos délicieux parfums pour jouer avec vous des grands moments de joie opportuns quand vous en aurez envie, selon le gré de tous vos désirs. Vous serez mon plus grand ange gardien et par résonance aussi mon plus grand ange d’amour.Vous m’aimerez honnêtement et vous ferez de moi quelqu’un de toujours bon. Vous souhaiterez toujours aussi me rendre un peu plus beau. Heureusement, je vous ai trouvé et je vous aime vraiment, sans aucune contrainte ni aucune désillusion. Vous voulez m’aimer et vous allez me transformer pour vous aimer de plus en plus fort. C’est très humblement et sincèrement, je voudrais toujours jouer avec vous. Vous êtes ma rose blanche, mon trésor pour l’éternité.


Toujours ailleurs dans l’incroyable et dans l’indescriptible humainement parlant, je sens votre présence allègrement se rapprocher, en tournant de plus en plus vite autour de mon être vivant. Nous pouvons maintenant délibérément commencer à vivre notre plus grande et belle histoire d’amour ensemble, quelque part, sans rien avoir à divulguer à personne. Je ne puis vous attraper encore, je peux seulement jouer avec vous pour le moment, ce jeu, divinement, gratuitement et sans conséquences. Nous sommes encore en apesanteur dans l’univers et si je tombais, vous tomberiez avec moi. 


Pouvez-vous le ressentir ?


Nous ne sommes plus très loin, l’un de l’autre et nos ondes magnifiquement reliantes sont de plus en plus proches. Je rêve de vous pour nous. Vous le savez bien, nous sommes des petits et des gentils extraterrestres, voguant quelque part entre deux mondes, le vôtre et le mien, telles deux comètes en voie de perdition, qui foncent encore et toujours joyeusement bien dans la bonne direction, aidées par le bon sens des vents qui sont eux aussi plutôt favorables. Ouvrez grand votre saint esprit et je viendrais à vous en dansant. Dansez comme moi avec votre belle âme et vous me trouverez enfin debout devant vous en chair et en os. Regardez bien dans votre petit espace, une place vous attendait depuis bien longtemps. Dansez toujours avec votre âme et suivez moi maintenant attentivement, nous allons vivre notre plus grand rêve et nous flotterons ensemble quelque part, communément, jusqu’à notre plus grand émerveillement de tous les temps.


Le bon moment est arrivé. La première planète émet un puissant reflet. La seconde planète suit le reflet en se mettant à fabriquer des éléments avec le prophète caché. Juste après le coucher du soleil, elle enverra tous ses éléments secrets à la première planète pour poursuivre ensemble sa belle destinée, en parfaite harmonie et dans une osmose aussi incroyable qu’invraisemblable.


« O mon grand amour. Assez pour vous ! »

« O mon grand amour. Assez pour moi ! »


Beaucoup plus tard, dix bonnes années se seront déjà écoulées quand peu à peu l’amour s’arrêtera doucement mais véritablement chez ces deux jolis sacrés cœurs, qui non sans peines, continueront à battre et à tourner avec leur temps dans chacune de leur nouvelle et réelle authenticité.C’est bien sans remords, que je fus contraint de résilier notre plus grand rêve pour redescendre une deuxième fois sur cette divine et toujours aussi belle planète Terre. Cette fois-ci, il s’agira pour moi tout simplement de retrouver ma bien aimée et tant attendue nouvelle et belle liberté. C’est ainsi que nous décidâmes ensemble et sans équivoque à mettre un terme à notre plus grande et splendide histoire d’amour, après plusieurs années de bons et de loyaux procédés et de réelle et belle complicité, toujours aussi délicieusement bien partagés. 


Une magnifique et inoubliable parenthèse amoureuse entre deux beaux êtres vivants et consentants, devenue avec le temps, de plus en plus coutumière et ennuyante à cause probablement d’une longue vie à deux dans la monotonie la plus banale a bien des égards.


C’est assez naturellement, que je pouvais reprendre mon étrange questionnement sur toutes les différentes conditions de vie humaine sur terre et ses nombreux problèmes récurrents, surtout existentiels et spirituels.Je suis venu dans ce monde pour soulager une ou plusieurs souffrances. Ces douleurs ne se cicatriseront jamais et elles me suivront toujours contre vents et marées. Pourquoi devrais je me prendre la tête sérieusement quand elles préféreront toujours continuer à exploser un peu partout, sans concessions, encore et encore. 


Ma tête et mon corps entier me supplieront tous les jours pour aller jouer à exploser et à fusionner. Je le pense vraiment haut et fort sans rien avoir à cacher à personne, nous sommes tous des fissions et certaines pourront nous sauver la vie pour un bon moment ou pour toujours.C’est à vous de le voir. Ma vie est probablement gâchée dans un monde habité et complexe rempli de cas bizarres et extrêmes à décortiquer. Vous êtes certainement plus un joli rêve et moi un vilain méchant cauchemar. Nous sommes aussi différents mais à la fin je sourirais quand vous pleurerez. Ma vie n’a jamais rien eu à voir avec vous et je me dois de vous en remercier du fond du cœur. Je ne suis plus un homme de confiance et j’exprime rarement ce que je pense vraiment.Je vis un rêve sans vous. Plus besoin ni rien de vous à la fin. 


C’est déjà souvent glorifiés et très persécutés, que tous les animaux sauvages sont partis du néant sans les meilleures volontés ni les plus gracieuses des compassions pour arriver un jour tragiquement à se glisser sur le podium des touts puissants. Ils sont même devenus dans la durée une espèce en voie d’extinction, comme tous ces nouveaux petits gendarmes ambassadeurs du monde entier, contemporain et actuel, toujours plus méchant, toujours plus cruel et toujours plus rassurant. Ils ont lentement et tout doucement compris qu’il valait mieux pour eux-mêmes de prendre la meilleure attitude possible au sein de leur minuscule royaume, celui des habitudes organisées et partagées avec des réglages individuels à ne pas déranger depuis l’intérieur dans toute une série de différents para métrages compliqués et dirigés simplement et humainement à garantir la continuation de leur survie dans leur habitat naturel, visant trop souvent à contrecarrer malheureusement, un partiel, voir impossible renouvellement, justement pour se déplacer comme la poussière et tous les sacro saints, sans aucune évidence à la banalité ou à la distinction, aveuglée entre le bien et le mal. 


Je vous demande donc, qui prendra son temps ?  


La vie sauvage sera toujours entre leurs mains quoiqu’il arrive. Je serai toujours bien présent dans ma petite mission généralisée et actualisée. J’en suis bien conscient, c’est toute l’humanité qui en dépendra, aujourd’hui et demain. Lavons nous bien nos mains sans oublier de bien nous les sécher pour rester tous ensemble dans le prochain monde, le monde de demain.L’avenir si incertain nous appartiendra encore pour un bon moment aussi longtemps que nous le voudrions bien. 


A vous la parabole des deux mains. Montrez moi comment sera le monde de demain sans plus rien attendre. Je ferai de mon mieux pour continuer à incrémenter dans votre bon sens, en vous donnant tout ce que j’aurais de meilleur à vous offrir, mon temps, mon seul et unique vrai refuge. Je vous demande maintenant qui voudra bien prendre encore et encore de son temps? La vie a été, la vie est et la vie sera toujours entre mes mains pour, je pense encore très longtemps.


Je suis depuis un bon moment dans des sales draps, même au pire, et si j’attendais le parfait moment pour aller chanter, danser et avoir le moins mal au plus profond du moi-même. Rien de plus trivial qu’un bon confinement animal pour enfin voler tous ensemble vers d’autres cieux beaucoup plus cléments, où j’aimerais indéfiniment rester avec celle qui sera toujours adorable pour aller jouer à rêver avec un peu, un peu beaucoup, et beaucoup à la folie.


Le lendemain matin, je voyais une très belle et jeune femme, éperdument fâchée et complètement désemparée, déambuler seule sur le trottoir devant la porte de mon garage. Je me suis demandé ce qu’elle pouvait bien faire dans cette état là à une heure aussi matinale et je me suis rapproché d’elle pour le lui demander. Elle me répondît qu’elle n’avait rien pu faire, sa meilleure amie venait de lui enlever son petit ami. Je me suis immédiatement dit qu’elle pouvait bien avoir un trop plein de chagrin mais qu’elle ne devait pas trop s’en faire car la vie était beaucoup trop courte et précieuse pour s’en donner un tel mal de chien. 


Pour tenter de la réconforter, je l’ai prise dans mes bras durant de longues et douces minutes de petit et grand bonheur, et je lui ai dit de ne pas trop sans faire, sa tristesse allait bien finir un jour par s’atténuer en donnant son tour. Elle était chaude comme la braise et je sentais ses sanglots traverser mon corps en entier pour envahir violemment mon pauvre cœur d’homme solitaire et fatigué par tant d’années de souffrances plus ou moins bien maîtrisées. 


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Peu à peu, sentant bien qu’elle commençait à retrouver une partie de sa lucidité. Le moment était bien choisi pour moi de l’inviter à continuer de bien m’écouter. J’avais tant envie de lui raconter des jolies choses pour lui remonter son moral encore tout ébranlé par sa grosse et déconvenue mésaventure.


Dans un monde plus éclairé, la vie serait sans aucun doute, toujours beaucoup plus ensoleillée sans les soucis du lendemain mais avec un nouveau refrain bien plus malin. Tous ensemble mais tous différents. Nous avons tous la même connexion, tous ensemble pour un meilleur demain. 


Ça ne sera jamais les fleurs de ma peau, qui pourront vous manipuler ni mes peines qui chercheront encore à vous diviser pour vous jouer des nouveaux sales et mauvais tours. C’est ensemble qu’on pourrait rentrer dans nos deux petits cœurs fragiles pour se dire des tas de  jolies petites choses et commencer à rêver tout doucement.Quand je vous vois, j’ai envie de monter directement au 7eme ciel sans jamais me réveiller mais toujours avec vous à mes côtés et tout votre amour dans mon âme.Je vois dans vos beaux yeux bleus et verts quelques gouttes orangées et si éblouissantes, une de mes jolies vies passées comme si maintenant j’allais devenir une partie de votre nouvelle et éclatante prochaine vie.


A vous mon nouvel amour, le plus grand de tous les plus puissants, un jour ensemble, ensemble encore et encore pour toujours et toute la vie.  


Racontez moi c’est comment la vie ? 


Pourriez-vous me chanter la pluie dans le vent de la vie ?


Racontez moi c’est comment les jeux ?


Pourriez-vous parier sur votre vieux et lui donner un peu de votre temps ? 


Racontez moi c’est comment vos paris ?


Pourriez-vous m’en parler et choisir votre destin en allant un peu vers moi ? 


Parfois vous pleurez. Parfois vous souriez.


Je vous aime tellement, c’est vous la vie, et moi, notre joyeuse et glorieuse infinie comédie. 


C’est en arrivant finalement complètement suffoqué et blessé jusqu’à l’étranglement total par une mauvaise qualité d’air, devenue tellement dérayante et omniprésente par tous les temps, chez tous les petits et chez tous les grands, qu’enfin le moment était venu pour moi de vous lâcher sans surprise ma grandiose et non moins tristement bouleversante et joyeuse expression.


«C’est la vie ! Chacun sa merde, tous dans la merde».

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